Diotréphès

 

Diotréphès tu sièges en roi

En cultivant trop ton moi

L’ange de Dieu n’est pas loin de toi

Il n’aime pas que l'on torde la Loi

 

Vieillard impotent et ricaneur

Tu molestes les frères et sœurs

Ô Directeur, Administrateur

Il va venir comme un voleur

 

En enviant ceux qui ont l’Onction

Ta chère Maman est la Présomption

L’orgueil, ton fidèle compagnon

Guide toujours tes piètres actions

 

Sur la grande Route Errante

Ta partialité fils infante

Tes amis sont simoniseurs

Ils connaissent, ton esprit, ton cœur

 

Avec prudence ils avancent

Vers Souverain d’Arrogance

Tranquilles, mais pleins de méfiance

Souriants, silencieux, ils tancent

 

Mais d’autres beaucoup plus courageux

Pour mieux sanctifier Jéhovah Dieu

Ont abandonné ce Très Saint Lieu

Pour la paix, ils restent silencieux

 

Diotrèphès, change donc ton esprit

Voyons, tu n’es pas un tout petit

Maintenant si tu es maladif

Fais-toi soigner, rentre tes griffes

 

Depuis longtemps tu es un bourreau

Je peux t’envoyer vers les barreaux

Mais non, je ne parle pas pour rire

Malgré moi je ne puis te bénir

 

Pour bien guérir tes neurones

Il ne faut plus que tu ronronnes

Suis les traces de notre Sauveur

Il te donnera gloire, honneur

 

Du Ciel, il est venu pour servir

Ta maison, il peut la rebâtir

Avec l’or, les pierres précieuses

Ta famille sera heureuse

 

Non, je ne veux pas te voir mourir

Pourtant, tu m’as fait beaucoup souffrir

Sans tarder soigne ta maladie

Afin d’obtenir le Paradis

 

JMB

Orange 1978

 

Note: L'Organisation de Jéhovah est la seule qui, bien qu'elle ne soit pas infaillible, enseigne l'Exacte Vérité. Je l'aime, la respecte et la défends depuis plus de cinquante ans. Cependant, comme le dit la Sainte Bible, des hommes dépourvus de spiritualité ont parfois de hauts privilèges au sein de la Congrégation. Ils se comportent comme Diotréphès (3ème Lettre de St Jean). Ils pratiquent envers certaines Brebis de Dieu, la violence silencieuse, le harcèlement mental, le bavardage, la calomnie, etc

Ils font semblant d'obéir à l'Autorité Théocratique, mais avec ruse ils la bafouent. En temps voulu les anges du Messie les dévoilent. Des Surveillants qui sont agréés par Dieu prennent leur place. Certains Diotrèphès se repentent, d'autres retournent dans Babylone. Un fait est certain: Le Peuple de Jéhovah ne sera jamais détruit.



 

Ps: 1- Suite 2- Exposé sur l'onction.

 

Je t'écris encore quelques lignes en essayant d'imiter le Maître, Prince de Paix, Dieu Éternel , Conseillé Admirable. Voir Révélation [Apocalypse] – Lettre aux sept Églises.

 

Serviteur de Dieu et de son Fils, durant plusieurs années, j'ai pu me rendre compte que, bien des points, tu étais zélé. Souvent atteint peut-être par l'esprit saint, malgré tes maladies, tu donnais des discours édifiants, tu fréquentais régulièrement les Réunions et tu prêchais hardiment.

 

La Jérusalem Céleste, j'en suis sûr, quand tu étais animé par le bon état d'esprit, était heureuse de te voir agir ainsi. Je l'étais, nous l'étions aussi. Mais elle, tous ses membres et les Fidèles sur Terre étaient très attristés quand, brusquement, sans savoir pourquoi, tu siégeais en Maître Administrateur. Tu voulais tout diriger et, si quelqu'un te le faisait remarquer, tu le traitais sans aucun égard, en employant de vilains stratagèmes pour l'écarter, l'isoler et priver du moindre petit privilège. Auprès des Frères et sœurs et même des Serviteurs Itinérants, tu faisais en sorte qu'il soit réprouvé. Pour faire le mal, tu avais avec toi des Associés, Méchants, Naïfs et Crédules.

 

En voyant que je ne pliais pas le genoux devant toi, ton menton s'allongeait énormément. Tu as ridiculisé, comme un homme dépourvu de sens, mon onction. Tu disais que j'étais un fou qui prenait les Emblèmes uniquement pour me glorifier. Tu voulais à tout prix, pour pouvoir te justifier, me faire perdre la maîtrise de moi-même.

 

Avec d'autres compagnons, tu t'es conduit de la même façon. Plusieurs étaient bien malheureux et complètement désorientés. Et toi tu pavanais et ricanais comme un insensé Mécréant. Le harcèlement mental était ton arme favorite. Mais devant les grands Frères qui nous visitaient, tu devenais doux comme un petit agneau. Par divers moyens matériels et spirituels, tu savais parfaitement les simoniser et, par eux, j'ai reçu bien des reproches injustifiés. Oui, pour des choses mauvaises tu étais un très habile ouvrier.

 

Souvent je me suis demandé si tu n'avais pas une sérieuse maladie des neurones. Ta mauvaise conduite surpassait celle des Super Apôtres, ennemis de Saint Paul et de tous ceux qui le soutenaient.

 

Si tu désires demander à nos compagnons spirituels de lire mon imparfait, mais humble exposé, certains, certaines qui te prenaient pour un Chérubin, te soutiendront et diront de mauvaises choses me concernant (exemple : « c'est un corse têtu, orgueilleux, rebelle, etc...

 

Vas-y, continue, ne te gêne pas, mais sache que bientôt il faudra rendre de sérieux comptes devant « le Messie qui a reçu tout pouvoir, au Ciel et sur la Terre ». Moi, je ne demande pas châtiment, mais bien au contraire, j'intercède en ta faveur.

 

Je transcris quelques versets que tu connais, en te demandant d'oublier un instant ton « moi » et de lire en demandant à Jéhovah de les graver sur ton cœur. Fais-les ensuite pénétrer dans ton esprit. Je ne cherche pas ta perte. O comme j'aimerais te gagner au Seigneur Jésus et à sa loi.

 

1- Celui qui reprend les autres éprouve plus de bonheur que l'homme flatteur.

 

2- Reprends le Juste et il t'aimera.

 

3- Censure le moqueur et il deviendra sage.

 

4- Si tu ne reprends pas le juste qui se met à connaître l'Injustice, toute sa Justice sera oubliée. Il mourra et toi aussi, mais si tu l'avertis il vivra et toi aussi.

 

5- Si tu n'avertis pas le méchant, il mourra et toi aussi, mais si tu l'avertis il vivra et toi tu sauveras ton âme.

 

6- Tu ne haïras pas les enfants de ton peuple, mais tu les reprendras.

 

7- Que le Juste me frappe. C'est de l'huile sur ma tête.

 

8- Celui qui redresse la tête pour ne pas écouter la réprimande ne pourra obtenir la Vie

 

9- L'insensé quand il est sur la route, dit [en parlant des autres], « Voilà un fou ».

 

10- Il n'appartient pas à l'homme de diriger ses propres pas.

 

11- L'homme domine son semblable à son détriment.

 

12- Celui qui aura maltraité un tout petit Frère de Jésus (je paraphrase), ira avec les chèvres dans le feu brûlant pour le Diable et ses anges.

 

13- Celui qui aura pris soin d'un tout petit Frère du Seigneur (je paraphrase), vivra heureux, éternellement sur la Terre.

 

14- Mon Fils, éloigne-toi de la Dame Folie, va sur les Hauteurs et mange les mets succulents de Dame Sagesse

 

15- Fais attention à ton pied quand tu rentres dans la Maison de Dieu. N'offre pas le sacrifice des insensés.

 

16- [Diotréphès] retourne-toi, et, quand tu seras revenu, affermis les Frères.

 

17- Les gens de ce monde commandent en Maîtres, mais n'agissez pas comme eux. Que le plus grand soit le serviteur des autres.

 

18- Le Fils de l'homme n'est pas venu pour être servi, mais pour servir

 

19- Ils ne sont pas nés de la chair, ni du sang, mais par la volonté de Dieu […] parce qu'ils ont exercé la Foi dans le Seigneur.

 

20- Nous n'avons pas été engendrés par parole corruptible [des hommes], mais par la Parole de Dieu qui ne peut se corrompre.

 

 

Diotréphès m'a dit un jour : Pourquoi toi tu es oint et moi non ?

Voici ma réponse : Parce que j'étais un mauvais sous beaucoup de rapports, un sot, un fou, « mais Dieu a choisi les choses sottes, les choses folles de ce monde pour confondre les sages ». Si j'avais reçu l'Appel Céleste à cause de mon intégrité, de mes mérites, j'aurais pu me glorifier, mais vu mon état de pécheur, je rends grâce à Jéhovah sans relever avec présomption la tête. Je ne puis que chercher à devenir de plus en plus humble, en remerciant le Seigneur.

 

J'ai ajouté, sans méchanceté : Veux-tu savoir pourquoi tu n'es pas oint. Oui, répondit-il ?

Je vais te le faire savoir : parce que toi, tu es un homme irréprochable en toutes choses. Pour un peu le dérider j'ai continué : si tu veux être engendré, quitte la Vérité, retourne dans le Monde et deviens un mécréant, un véritable Renégat. Si tu fais cela, Yah te donnera peut-être l'Appel Céleste.

 

Son visage est devenu écarlate. Il m'a regardé avec des yeux furibonds et s'est éloigné de moi en maugréant : Plaisanterie corse, a-t-il dit à haute voix.

 

Pauvre Frère ! Ô Jéhovah Dieu, s'il te plaît, donne-lui l'Exacte connaissance afin qu'il puisse comprendre ta Sainte Bible. Moi je suis incapable de l'aider, mais ton esprit saint le peut.

 

Bien cher tous, le Tout-Puissant ne lèse personne. Il donne et donnera le Bonheur à ses Élus et à ses Fidèles qui vivront toujours sur la Terre.

 

Je m'adresse, à présent, à tous les Membres du Reste. Bien-Aimés, si vous pensez vraiment avoir l'appel Céleste, en étudiant, en priant et en méditant, « Sondez tous les esprits, car plusieurs ne viennent pas de Dieu. Ne vous fiez pas à votre propre sensibilité, votre propre désir d'aller au Ciel.

Le Diable se sert souvent de notre cœur en employant toutes sortes d'astuces pour nous faire croire que nous sommes des Engendrés. Méfiez-vous des rêves merveilleux, des visions, des voix audibles disant que vous ferez partie du Royaume Messianique et des Apostats, disant que la Terre sera détruite et que tous les Vrais Croyants iront avec le Christ.

L'Enfer brûlant disent-ils est réservé aux réprouvés. Faites attention aussi à votre état de santé mental. Si vous êtes malheureux, persécutés, etc., tout en aimant fortement Dieu, vous pouvez vous dire en vous-même, fermement convaincu, que vous êtes un Frère du Christ. Attention surtout à certains médicaments contre l'anxiété et les dépressions de toutes sortes. Certes, il ne s'agit pas de critiquer d'une manière inconsidérée la Médecine, les Médecins, les Chirurgiens, Cancérologues et personnels soignants. Les douleurs de toutes sortes ont été bien soignées par eux. Sans leur précieuse aide, plusieurs humains seraient obligés de supporter les Maudites douleurs de toutes sortes. D'autres seraient prématurément dans la Maison : Séjour des Morts. Mais prenez garde aux charlatans de toutes sortes. Je parle surtout de Charlatans qui après avoir étudié différents remèdes thérapeutiques en Suisse, en Allemagne et dans d'autres pays; reviennent chez nous ou vont ailleurs en ayant la prétention, avec de piteux médicaments, surtout Antidépresseurs, de guérrir miraculeusement les pauvres malades naïfs et crédules.

 

Ces affreux diables qui pensent aimer la Vérité Biblique, s'introduisent dans nos Congrégations et demeures. Oui, ils savent y faire pour dépouiller de leurs gains les Frères et Sœurs faibles mais aussi des expérimentés. Si vous aimez Dieu, Jésus et toute la congrégation, ne vous laissez pas piéger par ces avides Mercenaires. Personnellement je les connais bien et préfère être malade que d'avoir recours à eux. Durant de longues années, j'ai guerroyé contre eux. Jusqu'à mon dernier souffle, soutenu par mon cher Père Céleste, je défendrai ceux que j'aime, y compris les innocents qui ne comprennent pas mes bons Mobiles. L'Éternel Yah ne désapprouve en aucune manière, mes façons d'agir.

 

Je dis à Jéhovah : « Me voici, envoi-moi .»

 

Si vous voulez des preuves, venez chez moi. Ma maison est ouverte et je vous montrerais certains écrits (édifiants) qui vous rendront plus que prudents. Vous n'aurez rien à payer.

 

Vous tous qui me lisez ou m'avez lu, sachez bien que la Vanité (u fume en corse) n'est nullement l'Aimé de mon cœur.

 

Le Fils de l'homme, à présent, Roi du monde entier, m'a donné quelques petits talents. Je ne peux comme le Méchant Esclave les enfouir dans le sol. Je dois pour le servir et glorifier Jéhovah, les faire fructifier.

 

Le Prétendu Mauvais Jugement des Faux Bergers Spirituels, mêmes s'ils ont des charges Théocratiques usurpées, je l'envoie dans le désert des Agriates corse. Ils feraient bien de se tenir tranquilles.

 

Le monde ne m'a pas donné une très Grande Instruction, mais dans la Sainte Demeure de Yah, on m'a donné, sans payer le Bac +30.

 

Je vous salue affectueusement et respectueusement.